Un voyage à Kinshasa était au début, suivi par un projet scolaire à Aix-la-Chapelle et la fondation de l’association « Pro Kongo ya lobi » le 12 août 2009
Au cours de l’été 2008, nous avons fait la visite de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo. Nous, c’étaient deux couples, qui habitent à Aix-la-Chapelle. Un de nous, qui est Congolais d’origine, voulait nous montrer volontièrement une fois son pays et ainsi nous avons obtenu l’occasion d’un séjour de 4 semaines dans le sein de sa famille. Nous avons pu faire la connaissance, au delà du tourisme et d’un hôtel, la vie quotidienne dans ses beaucoup de ruptures. Nous avons visité la ville, la campagne, deux dispensaires, des écoles et des universités, on nous a invité à un mariage, nous avons assisté à une mise de pierre de tombe, on a fait la visite des parents, das pauvres personnes simples ainsi que des personnes influents et riches – on a fait des tours en ville en voiture, des policiers nous ont stoppé et « dépouillé », on a eu des pannes – ou inversement – de temps en temps on n’a pas eu de pannes aussi – bref : nous avons joui la vie africaine, mangé les repas, avons respiré l’air.
Pour nous il était impressionnant – et parfois fatigant – qu’on a toujours attiré l’attention. Derrière nous on a appelé « Mundele », ce qui signifie « blanc » en Lingala, et les petits enfants ont souvent pleuré, parce qu’ils ont eu peur de nous, car pour la plupart des gens là nous étions les premiers blancs qu’on a vu.
D’une part nous avons été impressionnés beaucoup par l’abondance, la beauté et le luxe de couleur de tout qu’on a vu et d’autre part par la pauvreté et le manque d’infrastructure.
Encore plus la visite de deux dispensaires et d’une école nous ont impressionné d’une manière efficace, de sorte que nous avons décidé spontanément de nous engager là-bas.
En ce qui concerne l’école, il s’agit d’une école privée avec des enfants de 3 à 18 ans, dès les classes maternelles jusqu’au baccalauréat. Puisqu’il n’y a pas de scolarité obligatoire au Congo, et que l’on y doit payer des frais scolaires, seulement tels enfants et jeunes ont la possibilité d’obtenir une formation scolaire dont les parents le peuvent se permettre et le veulent aussi. À cette école, le frais scolaire par enfant s’élève à environ 100 – 150 € par an. C’est une fortune dans un pays, où beaucoup des habitants gagnent moins que 30 dollars (environ 20 €) par mois. A l’occasion de notre visite, le directeur de l’école nous a présenté deux élèves, qui ont du quitter l’école, parce que les parents ne pouvaient plus réunir le frais scolaire. Pour les jeunes, il s’a agi de deux élèves très motivé(e)s et doué(e)s qui étaient les meilleur(e)s de la classe.
Ainsi, nous avons avons décidé spontanément de nous charger du parrainage pour ces deux jeunes. Nous sommes retournés à Aix-la-Chapelle et dans le cadre de deux événéments publiques et bien visitées où nous avons rapporté de notre voyage, nous avons demandé la prise en charge d’autres parrainages. De cette manière nous avons avons reçu assez d’argent de donation pour assurer le financement d’actuellement sept élèves. Ils sont aussi des élèves motivés et doués, que le directeur de l’école nous indiqué et dont lesquelles il nous a communiqué les adresses, pour pouvoir prendre contact. Pour nous c’est important, d’une part, pour pouvoir s’échanger, mais également pourqu’on puisse contrôler un peu l’utilisation de notre argent de donation.
La visite de deux dispensaires nous a rendu vraiment consternés. Il n’y a pas de système de santé au Congo. Si l’on est malade, on doit payer – sinon on y est sans de l’aide. Mais même si l’on a la chance de pouvoir visiter un dispensaire, on y rencontre des manques partout. Des matériaux hygiéniques les plus simples, comme des désinfectants, des antibiotiques, des pansements. Bref : tout. Un vieux pot de cuisson sale sur une plaque de fourneau sert pour la désinfection. Mais même cette méthode de désinfection simple ne suffit pas. Parce-que le réseau électrique de Kinshasa livre rarement plus de deux ou trois heures à de l’électricité sans arrêt, pour être supprimé alors de temps en temps pendant des jours. la fondation d’associ
C’est pourquoi nous avons commencé à Aix-la-Chapelle à rassembler un transport avec des pansements, de l’équipement médical et des médicaments pour les deux « polycliniques » et de l’équipement pour l’enseignement à l’école. Un minibus que nous ont pu acquérir à bon prix, nous a servi de moyen de transport, et maintenant il sert en tant que car scolaire, avec lequel des projets à l’extérieur de l’école sont devenus possible.
Pour améliorer la situation dans les deux dispensaires et les rendre indépendants de l’alimentation électrique peu fiable, nous essayons actuellement d’obtenir deux générateurs. Cela garantirait l’éclairage – aussi pendant la nuit -, p. ex. pour faire des opérations d’urgence, et permettrait d’actionner un appareil d’ultra-son qu’on nous a donné aussi. Actuellement, des lampes pétrolières sont placées sur le sol autour de la table d’opération et un drap blanc est tendu au dessus de la table d’opération, pour réfléchir la lumière.
Notre vision est l’installation de panneaux photovoltaïques sur l’école et sur le dispensaire visant la garantie de l’alimentation électrique. Pour cela nous avons le contact avec un institut d’urbanisme à l’université technique RWTH à Aix-la-Chapelle qui mène des projets à proximité du dispensaire et qui pourrait aussi accompagner ce projet avec sa compétence.
Notre prochain transport est prévu prochainement. Pour cela nous cherchons encore des donations d’argent sur le compte Sparkasse Aachen, Code SWIFT/BIC : AACSDE33, IBAN : DE07390500001070483340, mais aussi des dons en nature ………………..